Ça fait quelques essais que je lis ayant comme sujet l’état du monde numérique en général et de son impact sur nos vies en particulier. Je pense que je vais prendre une pause.
Dix chapitres nous expliquant à quel point ça va mal. Les géants technologiques qui couchent avec les états souverains, rendant les limites entre le public et le privé, entre le civil et le militaire de plus en plus floues. Style lourd et phrases trop longues.
Puis le onzième chapitre laisse entrer un peu de lumière. Soyons des citoyens-soldats, comme dans l’antique Athènes, et restons vigilants. Nous ne sommes pas en guerre, mais ce n’est pas la paix non plus.
Ce que j’en retiens :
- Après le droit inaliénable à l’autodétermination, revendiquons maintenant celui à l’indétermination. Le droit d’hésiter, de ne pas se prononcer, ou de ne rien vouloir savoir. De ne surtout pas nous faire nudger par les algorithmes.
- Toujours se demander de qui vient l’information que l’on consomme, et surtout pourquoi. À qui profite-elle?
- Réapprenons à apprendre.