Comme un long accident de char | Joël Martel

Ça faisait longtemps que ne n’avais pas ri à m’en taper les cuisses en lisant un livre.

On a tous un mononcle un peu louche au sens de l’humour gras et salé. Ici, c’est le père de l’auteur.

Le fil qui relie toutes ces histoires, c’est l’incontournable faucheuse. Pas le trépas tragique, plutôt la mort qui fait minimalement réfléchir, peut-être même sourire. Et se trouver chanceux de se réveiller le matin.

J’ai fouillé la toile pour savoir ce que M. Martel faisait de bon. J’ai trouvé cette pièce musicale imparable. Un ver d’oreille mental.


Christian Thibault